Vous avez sûrement déjà entendu parler de Poupette, la snapchatteuse la plus suivie de France. Si vous ne la connaissez pas encore, il est temps d’en savoir un peu plus sur cette star des réseaux sociaux suivie par près d’un million d’abonnés. Poupette, de son vrai nom Kenza Benchrif, est une jeune maman de 22 ans qui montre son quotidien sur les réseaux sociaux. Suivie par un public majoritairement féminin, la jeune femme partage chaque moment de sa journée, de ses sorties “courses” jusqu’au coucher de ses deux enfants. Un contenu plutôt banal direz vous… Si l’on ne prend pas en compte le fait qu’elle a monté deux fois les marches du festival de Cannes le week-end dernier ! Et oui, rien que ça!
Poupette partage aussi tout ce qu’elle ressent, sans filtre, et c’est ce qui plaît à ses abonnées, les poupettes qui se sentent, ainsi, proches d’elle. Mais justement, proches d’elle jusqu’à quel point ? Kenza partage chaque jour en story les messages de ses poupettes, et l’on s’aperçoit que certains d’entre eux sont assez virulents… Certaines fans n’hésitent pas à faire remarquer à la jeune femme qu’elle ne “snappe” pas assez dès que celle-ci fait une pause durant une heure, ou même de commenter ses moindres choix de vie ou comportements. On peut se demander si la relation entre la snapchatteuse et ses abonnées est vraiment saine et ne dépasserait pas une certaine limite. Le problème est qu’il y a une certaine dépendance mutuelle entre le public et Poupette. La jeune femme est prise dans un cercle vicieux entre son métier d’influenceuse lui demandant de partager sa vie quotidiennement (ce qui est un peu sa marque de fabrique), et sa santé mentale constamment mise en danger par la pression des internautes malveillant(e)s.
Néanmoins, une majeure partie de la communauté des poupettes se montre totalement bienveillante avec Kenza, qui subit énormément de cyber harcèlement des haters, notamment sur Twitter. Il suffit d’écrire “poupette” dans la barre de recherche et les derniers tweets datent probablement de moins de 10 minutes… Poupette essaie tant bien que mal de limiter cela, mais lorsque la haine est massivement présente envers une personnalité sur les réseaux sociaux, il est difficile de la dissoudre… L’influenceuse a néanmoins annoncé qu’elle arrêterait toute collaboration avec les marques travaillant avec les influenceurs participant à ce cyberharcèlement. En effet, elle a affirmé que certains blogueurs gagneraient en visibilité en parlant sur elle, et que les marques collaborant avec eux seraient donc complices de cela.
Ces derniers temps, on voit que notre poupette nationale souhaite redorer son image et
cesser d’être la cible des critiques sur les réseaux sociaux. On espère qu’elle va y parvenir tout en réussissant à poster son contenu good vibe chaque jour, loin des haters et des critiques !
En tout cas nous, comme on l’aime bien et qu’on déteste toute forme de cyberharcèlement et de haine, on lui a envoyé une box pour la réconforter et elle a adoré !
Poupette représente bien Allo maman bobo, soyez vous-même tant que cela ne vous détruit pas mais surtout ne demandez pas la permission pour exister selon vos choix !
Par Johanna – Allo maman bobo
Je pense que mon commentaire ne sera pas publié mais quelle honte de faire croire que vous êtes solidaire de cette personne. Votre seule motivation est la vente de vos produits (idem pour la poupette😅 qui doit recevoir également une belle com pour servir de justification pour la vente de vos produits…
Faites du commerce honnêtement svp, merci…
Je vous remercie pour votre commentaire. Poupette n’a reçu aucune commission de notre part et ne doit même pas être au courant de cet article. Qu’on l’aime ou pas, cet article a écrit par quelqu’un de l’équipe pour qui ce sujet lui tenait à coeur et nous adhérons à la liberté d’expression de nos équipes donc nous avons validé cet article !